Down in the weeds, where the world once was

Auteur(s) Bright Eyes (Musicien)
Titre(s) Down in the weeds, where the world once was [enr. sonore] / Bright Eyes.
Editeur(s) Dead Oceans, 2020.
Contient Pageturners rag. - Dance and sing. - Just once in the world. - Mariana trench. - One and done. - Pan and broom. - Stairwell song. - Persona non grata. - Tilt-a-whirl. - Hot car in the sun. - Forced convalescence. - To death's heart (In three parts). - Calais to Dover. - Comet song.
Résumé Le dixième album studio de Bright Eyes, le premier depuis 2011, ne ressemble à aucun de ceux qui sont venus avant lui. Modifier radicalement un processus d'écriture 25 ans après le début d'un projet est un défi, mais Oberst, leader du groupe, a déclaré que lui-même et les autres membres du groupe l'avaient relevé sans peine : "Notre histoire et notre amitié, et la confiance que je leur accorde, sont si complètes et si profondes." Down in the weeds est immédiat et urgent : c'est le fruit de l'évolution individuelle de ses créateurs après une décennie loin les uns des autres, ainsi que du besoin que ces derniers ont eu de faire un nouveau disque ensemble. Le trio présente ainsi une version aboutie du son que l'on connaît à Bright Eyes : le son d'un lien profond, d'un groupe qui rentre à la maison.
Notes Textes des chansons.
Indice(s) 2.23