C’est avec le morceau « Happiness » que le chanteur compositeur anglais Jonathan Jeremiah propulse sa carrière. Ce titre est tiré d'un premier album particulièrement réussi : « Solitary man ». A cette époque, le jeune musicien travaille la nuit comme gardien dans l’emblématique stade de Wembley. Il en profite pour écrire et financer l’enregistrement de son album.
12 ans plus tard, l’artiste peut dire adieu à sa vie de solitaire. Avec« Horsepower for the streets », il signe un magnifique disque de soul-folk. Jonathan Jeremiah y est accompagné de sa guitare qu’il garde toujours à portée de doigts et d’un orchestre à cordes composé d’une vingtaine de musiciens. L’ambiance qui se dégage de l’album rappelle dès les premières notes la musique Soul des années 70, marquée par les maitres du genre : Curtis Mayfield, Terry Callier, Lalo Shifrin… Un son revival qui a fait les plus belles années des studios motown mais qui rappelle également les lignes violons/basse enregistrées sur l’album phare du maitre Serge Gainsbourg « Melody Nelson ».
Jonathan Jeremiah avoue avoir grandi avec la musique Soul, en écoutant dès son plus jeune âge, la collection des vinyles de son père (on devrait toujours garder ses disques vinyles !!! Ou alors les offrir à son discothécaire !!!).
Avec ce disque, Jonathan Jeremiah offre un album contemporain avec de nombreuses références musicales du passé. Cet écrin sonore accompagne parfaitement sa voix profonde légèrement éraillées.
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