Cela serait si facile de décréter qu'après un premier album exceptionnel (Jake Bugg, signé chez Mercury en 2012), le petit génie de dix-huit ans n'a pas su réitérer le coup d'éclat, que son quatrième LP, Hearts That Strain, n'a rien de comparable aux qualités des débuts du prodige, que le jeune britannique s'est perdu en voulant en faire trop, trop moderne, ou trop différent. Évidemment, cela serait plus facile.
Et pourtant. Le nouvel album de Jake Bugg est aussi riche que ses précédents et s'écoute avec autant de facilité et de plaisir.
« Soundofviolence » l'actualité du rock britannique